La définition d’un plan d’action en vue d’un printemps de la mobilité en 2016

Publié le 13 octobre 2015
Rédigé par 
Catherine Marneffe

Depuis 2012, nous demandons de manière répétés à la majorité montoise d’améliorer la sécurité et le confort des pistes cyclables, chemins et trottoirs. Notamment par :

  • La Chasse au stationnement sauvage sur les trottoirs et les pistes cyclables
  • Un plan de mobilité tenant compte de la mobilité douce et active
  • La Réouverture du tour du Grand Large fermé à hauteur de l’ADEPS
  • La mise en place d’une piste cyclable continue sur la Petite Ceinture
  • Une Grand place piétonne le week- end

 

Certaines de nos demandes sont écoutées, des promesses sont faites mais nous peinons à voir les effets de nos démarches pourtant constructives. Si nous pouvons déjà regretter que ces éléments qui participent à une mobilité durable dans laquelle s’investissent beaucoup de villes européennes, arriveront trop tard pour l’année-vitrine 2015, il reste encore 3 années à la majorité pour mettre un plan d’action digne de ce nom en faveur de la mobilité douce.

 

Grâce à des retours de citoyens et d’associations et avec notre expérience de la mobilité douce, nous avons identifié 3 axes centraux pour améliorer la sécurité et le confort des modes doux, à savoir :

  • Connexion des itinéraires piétons et cyclistes en aménageant les liaisons manquantes
  • Continuité des infrastructures cyclistes dans un rayon de 5 km autour du centre ville
  • Qualité, entretien et accessibilité des infrastructures piétonnes et cyclables.

 

Si ces démarches doivent être mises en œuvre sur le long terme, plusieurs actions pourraient être développées à court terme, pour faire du printemps 2016, le printemps de la mobilité et doter notre capitale culturelle d’un vrai réseau de mobilité douce.