La définition d’un plan d’action en vue d’un printemps de la mobilité en 2016
Depuis 2012, nous demandons de manière répétés à la majorité montoise d’améliorer la sécurité et le confort des pistes cyclables, chemins et trottoirs. Notamment par :
- La Chasse au stationnement sauvage sur les trottoirs et les pistes cyclables
- Un plan de mobilité tenant compte de la mobilité douce et active
- La Réouverture du tour du Grand Large fermé à hauteur de l’ADEPS
- La mise en place d’une piste cyclable continue sur la Petite Ceinture
- Une Grand place piétonne le week- end
Certaines de nos demandes sont écoutées, des promesses sont faites mais nous peinons à voir les effets de nos démarches pourtant constructives. Si nous pouvons déjà regretter que ces éléments qui participent à une mobilité durable dans laquelle s’investissent beaucoup de villes européennes, arriveront trop tard pour l’année-vitrine 2015, il reste encore 3 années à la majorité pour mettre un plan d’action digne de ce nom en faveur de la mobilité douce.
Grâce à des retours de citoyens et d’associations et avec notre expérience de la mobilité douce, nous avons identifié 3 axes centraux pour améliorer la sécurité et le confort des modes doux, à savoir :
- Connexion des itinéraires piétons et cyclistes en aménageant les liaisons manquantes
- Continuité des infrastructures cyclistes dans un rayon de 5 km autour du centre ville
- Qualité, entretien et accessibilité des infrastructures piétonnes et cyclables.
Si ces démarches doivent être mises en œuvre sur le long terme, plusieurs actions pourraient être développées à court terme, pour faire du printemps 2016, le printemps de la mobilité et doter notre capitale culturelle d’un vrai réseau de mobilité douce.